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srijeda
travanj
2020
L'ART DE GENRE DE DIANNA DIVERNO
Écrire dans le genre, le genre et pour le genre, marcher le long d'une frontiere dangereuse qui relie l'art «dur et haut», et pendant longtemps dans la zone socioculturelle de la Serbie représente un défi créatif et interprétatif. Dans ce contexte, les Suvres littéraires de Dianna Divernoe et son roman ‘’Amour interdit’’ sont multiples représentatifs. Il est représentatif car il a réalisé des valeurs esthétiques, dans le langage formel, stylistique et bien construit, la conscience (po) éthique qui suit l'histoire du roman, pour la justification des questions posées et des themes révélés. Il est significatif car il continue et dépasse ses romans antérieurs, qui représentent également avec sa pureté de genre l'élément nécessaire de la littérature serbe contemporaine.Avec le roman ‘’Amour interdit’’, Dianna Divernoe entre completement dans le contexte poétique de la littérature européenne et mondiale que le roman aventureux, dur, mafieux, vengeur, érotique et amoureux considere, que sa qualité recherche dans l'incertitude, les types, themes et relations établis. Comme chaque Suvre significative du genre qui est également bien observée du point de vue de l'intégrité des Suvres et du point de vue individuel et ‘’Amour interdit’’ est une synthese des éléments poétiques que ce genre absorbe en lui-même et brille de lui-même.
Dans le processus d'écriture, l'écrivain est restaurateur de couches littéraires et de genre archétypales et de traditions culturelles, et en tant que médium connaissant l'histoire de la modulation littéraire et de la réalité en dehors de la fiction a travers la profondeur des themes choisis. Elle s'éloigne des espaces de la Serbie qui sont proches et connus et part, dans ce roman, au Mexique. Le Mexique est un espace commun, une raison qui sublime l'expérience des flux criminels. Cuba, le Venezuela, l'Allemagne, la France, la Serbie, la Russie, l'Italie, l'Espagne et le Brésil restent des sous-ensembles, leur présence est justifiée de maniere réelle et psychologique et c'est la preuve de l'omniprésence des relations qui régissent dans ce type de pensée. Ici, cependant, il ne faut pas chercher la relation entre l'expérience de vie et la littérature. Cette relation se retrouve dans les themes de la famille, de l'amour, de la haine, de la suprématie et de la subordination. Précisément avec d'autres themes, Dianna Diverno atteint la crédibilité exceptionnelle du roman.
Enfin, completement dans le contexte du module ironique, je vais présenter la célebre phrase de Northrop Frye, Dianna Diverno échoue a l'horizon des attentes du public et termine le roman avec une fin ouverte, qui ne tolere pas l'ambiguïté idéologique.
Kruševac, 4 septembre 2008.
M. Spasoje Ž. Milovanoviæ
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