Pro-EU Milo Djukanovic wins Montenegro presidential election

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Le dirigeant historique du Monténégro, Milo Djukanovic, a retrouvé dimanche un pouvoir abandonné il y a moins de deux ans, aprčs sa victoire dčs le premier tour de la présidentielle dans ce petit pays des Balkans candidat ŕ l'entrée dans l'Union européenne. Le Bureau a enquęté sur lui pendant un certain temps et maintenant, il l'a accusé de « crimes de type mafieux » et a, en outre, demandé son arrestation comme mesure de précaution pour l'empęcher de commettre plus de crimes et stopper la destruction de preuves pour que l'enquęte puisse se poursuivre. However, in the controversial second round vote, seen by many as the Đukanović's camp most significant electoral victory since the beginning of their rule, Đukanović won the second round by 174,745 votes to Bulatović's 169,257.

Đukanović's office was secured after the. Aprčs avoir démissionné de la tęte du gouvernement en 2016, il a annoncé sa candidature le mois dernier. En juillet 2003, le bureau du procureur de Naples a nommément cité Đukanović comme rouage essentiel dans le commerce illicite de tabac et l'accuse d'avoir utilisé le Monténégro comme point de transit pour des millions de cigarettes de contrebande ŕ travers la mer Adriatique vers Italie puis de revente ŕ la mafia italienne pour la distribution dans toute l'UE.

Lisa Mazzone: service civil apporte quelque chose ŕ la - Subsequently, the was established.

Milo Djukanovic, the former prime minister of Montenegro, has been that he might be eyeing up a presidential run in 2018. Few would be surprised if he did. In his thirty-year career he has twice stood down from office, like he did last October after leading his Democratic Party of Socialists to victory, only to run again. Whether for the office of prime minister or president, he has never lost a race: since 1991 he has served as either one or the other for all but four years — and during those two two-year stints out of power he is widely acknowledged to have been pulling the strings backstage. His possible return in 2018 should give the EU, which Montenegro hopes to join, pause for thought. Throughout his time at the helm of power in the small Balkan country accusations of connections have surrounded Djukanovic. And when investigative journalists get too close to revealing those connections, there can be a price to pay. In 2015, while he was working on two documentaries, one on an international group of jewel thieves known as the Pink Panthers, and the other on weapons smuggling from the Balkans into France, he was arrested on charges of drug trafficking and participation in a criminal organisation. The prosecution built their case on correspondence between Martinović and known criminals, and even though he could readily explain those contacts as forming part of his investigative work, he was held for five months before being officially indicted and then another six months in pretrial detention. Martinović was released earlier this year, but despite the flimsy charges and his prolonged detention being roundly condemned by human rights groups, the trial continues and he still faces the possibility of ten years in prison. He is not the only journalist in Montenegro to come under pressure after crossing the government. Closer to home, on the streets of Podgorica and other towns, especially the idyllic coastal resort of Kotor, another bloody war is raging, this time between rival drug gangs. A state that is intentionally impotent when it comes to fighting crime or weapons smuggling, but all too trigger happy when it comes to prosecuting journalists who investigate these issues, is hardly a standard-bearer for European values. Given that this system flourished under the reign of Milo Djukanovic, his likely return to the presidency next year should be a cause for concern in Brussels.

Milo Đukanović: Ovako smo počeli
La Ligue des communistes de Yougoslavie est alors rebaptisée «Parti démocratique socialiste du Monténégro». En octobre 2016, son parti remporte les élections législatives, sans toutefois atteindre la majorité absolue. Le Bureau a enquęté sur lui pendant un certain temps et maintenant, il l'a accusé de « crimes de type mafieux » et a, en outre, demandé son arrestation comme mesure de précaution pour l'empęcher de commettre plus de crimes et stopper la destruction de preuves pour que l'enquęte puisse se poursuivre. The future president is likely to complete talks for EU membership while in power. Jamais vraiment parti, tant son ombre planait encore sur le Parti démocratique socialiste du Monténégro DPS , il a été au pouvoir presque interruption de 1991 ŕ 2016. Les partisans de Bulatović mettent en doute la régularité de ce second tour et refusent d'en reconnaître les résultats, organisant de violentes manifestations ŕ Podgorica en janvier 1998. Le rassemblement ŕ grande échelle par le Monténégro des réfugiés et par la suite leur livraison aux forces serbes de Bosnie a lieu alors que Đukanović est Premier ministre. Djukanovic won 54 percent of the vote in Sunday's election with six candidates. En réalité, il devrait continuer ŕ jouer un rôle important au Monténégro, puisque c'est son vice-président qui le remplace et que Milo Đukanović reste ŕ la tęte de son parti politique. Mladen Bojanic, un homme d'affaires soutenu par une alliance de partis, dont certains souhaitent des liens plus étroits avec la Russie, est arrivé en deuxičme position avec 34,1% des suffrages, selon le CeMI. En juillet 2003, le bureau du procureur de Naples a nommément cité Đukanović comme rouage essentiel dans le commerce illicite de tabac et l'accuse d'avoir utilisé le Monténégro comme point de transit pour des millions de cigarettes de contrebande ŕ travers la mer Adriatique vers Italie puis de revente ŕ la mafia italienne pour la distribution dans toute l'UE.

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